Malgré le très net redressement de l'OL depuis deux mois en Ligue 1 et avant le choc de la 18e journée face à l'OM (21 heures), les Ultras lyonnais réclament toujours le départ de Claude Puel à chaque fin de match. Une requête loin d'être approuvée par les autres spectateurs de Gerland.
" Puel démission" . Au stade de Gerland comme à l'extérieur, après les défaites comme les victoires, la banderole est brandie à chaque fin de match par les Bad Gones , le groupe de supporters lyonnais le plus passionné, installé dans le Virage Nord. Depuis son arrivée en 2008, Claude Puel n'a jamais séduit les sympathisants de l'OL : plus que la perte des titres, c'est la manière de jouer de son équipe qui a été le plus souvent pointée du doigt. Le 25 septembre dernier, la colère des Bad Gones a explosé au grand jour après la perte à domicile du centième derby de l'histoire contre l'AS Saint-Étienne (0-1). Le 1er octobre, cinquante banderoles "Puel démission" étaient déployées sur les points visuels stratégiques de la ville. Du jamais vu à Lyon.
Si Jean-Michel Aulas a su éteindre l'incendie, sa décision de maintenir un mois plus tard son entraîneur n'a pas du tout convaincu ses supporters les plus ultras. Dans un communiqué, leur seule manière de s'exprimer dans les médias, les Bad Gones déclaraient alors : "Seul le départ de Claude Puel sera à même de calmer la frustration et la colère des supporters et clients que nous sommes depuis de nombreuses années. En effet, la fracture et le malaise sont irrémédiables, non seulement avec notre groupe mais également avec l’ensemble des supporters du club."
"Cela équivaut à se tirer une balle dans le pied"
C'est là où le bât blesse car les autres tribunes sont nettement moins affirmatives sur le sujet : "De notre côté, nous n'avons jamais demandé la démission d'un coach et nous avons toujours suivi les orientations du Président, même si certaines individualités de notre groupe souhaitaient sans doute à un moment donné le départ de Claude Puel, explique Thierry Boirivent, le vice-président de l'Amicale des Rouge et Bleu, installée dans la tribune latérale Jean Bouin.
"On respecte la position des Bad Gones même si on a l'impression que cela équivaut quelque part à se tirer une balle dans le pied, ajoute-t-il. Sortir cette banderole après les victoires, c'est un peu tendancieux. Tout le monde ne pense plus vraiment comme eux, beaucoup de gens aujourd'hui ne souhaitent plus le départ de l'entraîneur." Les Bad Gones, eux, n'ont pas changé d'avis. Fidèles à leur ligne de conduite, ils se déplaceront avec la fameuse banderole dimanche à Marseille. Mais iront-ils jusqu'à la déployer en cas de victoire lyonnaise au Vélodrome ?
" Puel démission" . Au stade de Gerland comme à l'extérieur, après les défaites comme les victoires, la banderole est brandie à chaque fin de match par les Bad Gones , le groupe de supporters lyonnais le plus passionné, installé dans le Virage Nord. Depuis son arrivée en 2008, Claude Puel n'a jamais séduit les sympathisants de l'OL : plus que la perte des titres, c'est la manière de jouer de son équipe qui a été le plus souvent pointée du doigt. Le 25 septembre dernier, la colère des Bad Gones a explosé au grand jour après la perte à domicile du centième derby de l'histoire contre l'AS Saint-Étienne (0-1). Le 1er octobre, cinquante banderoles "Puel démission" étaient déployées sur les points visuels stratégiques de la ville. Du jamais vu à Lyon.
Si Jean-Michel Aulas a su éteindre l'incendie, sa décision de maintenir un mois plus tard son entraîneur n'a pas du tout convaincu ses supporters les plus ultras. Dans un communiqué, leur seule manière de s'exprimer dans les médias, les Bad Gones déclaraient alors : "Seul le départ de Claude Puel sera à même de calmer la frustration et la colère des supporters et clients que nous sommes depuis de nombreuses années. En effet, la fracture et le malaise sont irrémédiables, non seulement avec notre groupe mais également avec l’ensemble des supporters du club."
"Cela équivaut à se tirer une balle dans le pied"
C'est là où le bât blesse car les autres tribunes sont nettement moins affirmatives sur le sujet : "De notre côté, nous n'avons jamais demandé la démission d'un coach et nous avons toujours suivi les orientations du Président, même si certaines individualités de notre groupe souhaitaient sans doute à un moment donné le départ de Claude Puel, explique Thierry Boirivent, le vice-président de l'Amicale des Rouge et Bleu, installée dans la tribune latérale Jean Bouin.
"On respecte la position des Bad Gones même si on a l'impression que cela équivaut quelque part à se tirer une balle dans le pied, ajoute-t-il. Sortir cette banderole après les victoires, c'est un peu tendancieux. Tout le monde ne pense plus vraiment comme eux, beaucoup de gens aujourd'hui ne souhaitent plus le départ de l'entraîneur." Les Bad Gones, eux, n'ont pas changé d'avis. Fidèles à leur ligne de conduite, ils se déplaceront avec la fameuse banderole dimanche à Marseille. Mais iront-ils jusqu'à la déployer en cas de victoire lyonnaise au Vélodrome ?
Sam 12 Fév - 17:21 par Admin
» Mise a jour du classement FIFA/COCA COLA n2
Dim 23 Jan - 12:41 par Admin
» nonnnnnnnnnnnnnnnn!
Ven 21 Jan - 10:50 par allai le acé milan
» Alé le ac milan!!!!!
Ven 21 Jan - 10:44 par allai le acé milan
» BARCA I SON FOR
Ven 21 Jan - 10:27 par Admin
» La vidéo du jour du 18 janvier ( Rappelez vous...)
Mar 18 Jan - 21:02 par Admin
» MESSI!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Sam 15 Jan - 22:27 par Admin
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Mer 22 Déc - 12:56 par Admin